Hier, dans le cadre de la semaine bleue j’ai pris la parole avec une émotion particulière aux côtés d’Audrey Aronica, présidente de l’AFVD ( Association Francophone pour Vaincre la Douleur), à l’occasion de la journée de mobilisation contre les douleurs chroniques et les maladies invisibles.
Ces pathologies, trop souvent méconnues et banalisées, touchent plus de 14 millions de personnes en France. Elles isolent, épuisent et bouleversent des vies entières.
Audrey, Meylanaise comme moi, mène depuis des années un combat exemplaire. Derrière son sourire et sa bienveillance se cache une détermination sans faille pour faire bouger les lignes, sensibiliser et donner une voix à celles et ceux qu’on n’entend pas assez.
Je veux lui redire ici toute mon admiration et mon amitié. Ce combat est aussi le nôtre. En tant qu’élue, je suis pleinement engagée aux côtés des personnes concernées, pour que la douleur invisible soit enfin reconnue et mieux prise en charge partout sur le territoire.
Ensemble — associations, collectivités et citoyens — nous pouvons briser le silence et faire reculer la souffrance inutile.
